Des e-cig à des taux élevés en nicotine ont été testées par l’Institut National de la Consommation alors que les étiquettes indiquaient d’autres chiffres. Ils ont aussi détecté la présence de métaux lourds et de substances toxiques dans les e-liquides.

L’E-cigarette française est dissimulée par ses constituants

Selon Laurent, un conseiller en E-cigarette à Carcassonne, la France ne fabrique pas des cigarettes électroniques à la nicotine. Et que c’est seulement l’assemblage qui est fait en France, voilà pourquoi les flacons sont étiquetés made-in-France. Pourtant, l’INC ou l’Institut National de la Consommation a testé des flacons notamment made-in-France et qui révèlent des résultats assez douteux. Quel embarras pour les fabricants ! Les consommateurs sont désormais dans le doute face à cette incertitude des constituants des recharges notamment des e-liquides. On ne sait exactement d’où sont fabriqués les constituants qui contiennent de telles substances, ni de quelles marques s’agit-il ; mais si l’on creuse, on peut trouver forcément des réponses à cela. Néanmoins, la cigarette électronique est beaucoup moins nocive que le tabac.

Le marché de l’E-cigarette avait tendance à se décliner en France

Du fait de ses constituants venus de nulle part, mais aussi de certains articles à publicité négative publier partout. Le marché de la cigarette électronique a tendance à se décliner pendant ces derniers temps. On ne sait pas si c’est l’opposition qui sème de tels doutes partout afin de faire chuter les chiffres du côté des fabricants des e-cig. Il est à remarquer que l’e-cig a fait une fortune depuis son lancement. Et par ailleurs, sa popularité rend même des effets de modes chez certains et en particulier des ados. En effet, les adolescents adoptent la cigarette électronique à leur façon, pour eux c’est une mode. « La cigarette électronique c’est un peu la mode, du coup comme tout le monde je m’y suis mis», Christian un ado de 18 ans. Depuis l’annonce de ces nouvelles notamment sur les constituants des e-liquides, les consommateurs se retrouvent dans l’incertitude alors que la communauté des scientifiques a déjà déclaré que cette fameuse étude sur les constituants reste parfaitement critiquable du moment que la méthodologie adoptée n’est pas démontrée. A l’essor de ce débat, la décision du conseil de parlement par rapport à l’e-cig est attendue à la fin de l’année par les vapoteurs qui de leur côté se révolte peu à peu face cette situation.

Le parlement Européen prévoyait une directive sur l’anti-tabac tout en classant l’ecig étant un produit pharmaceutique. Mardi dernier, le résultat du vote était pour les vapoteurs. Dans le prochain article, suivez cette actualité.

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    Octobre 2013

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